La ville s’est affadie par manque des autres.

La ville s’est affadie par manque des autres.
Que revienne notre vitale randonnée.
On a peur de se perdre et on se perd pourtant.
On visite les lieux périphériques à la demeure. On les revisite encore sans franchir les limite de l’ailleurs.
Confinés que nous sommes, il nous reste à imaginer des paysages intérieurs pour se réapproprier l’espace vécu de nos logis.