Un photographe, poète et théoricien contemporain majeur

Un photographe, poète et théoricien contemporain majeur
Les nuées folles altèrent l’oubli
Le livre des Vanités est paru aux éditions Ripopée
Des espérances encore vivantes
L’ultime gîte
Il faut que je m’allège,
Scrute, ardente, les si lents cieux épars,
L’usage, l’image et la ruine.
Des formes en nombre
Peuplent les toiles
Ce cri perçant […] est notre souffle.
Peut-être est-ce l’influence de ces deux cases qui m’amena à pratiquer la photographie depuis près de 30 ans.
Avant de le boire, le thé, il faut le préparer.
Compagnon solitaire,
Tout habillé de jour,
Critique et réponse aux portraits tirés de Matière Numérique pour le Magnum Photography Awards 2017.
Quelques portraits de l’étude sur la Matière Numérique. Some portraits of the study on Digital Matter
Ne retenir du réel que son ossature
Il ne faut pas longtemps pour ressentir une plage.
Suite de l’état des lieux sur la matière numérique et l’étude des limites créatives du processus photographique.
C’est à la lumière du matin qu’un rêve se regarde.
Les suffocantes sensations d’un été tropical.
Et toujours se demander si ça va.
La liberté de croyance et de conscience relève de la sphère privée et l’école a l’obligation d’enseigner l’éthique et les cultures religieuses. Or, toute croyance n’est pas religieuse.
Théorie et pratique s’entremêlent, s’étirent, se distancient et se reviennent. Un état des lieux sur la matière numérique et l’étude des limites créatives du processus photographique.
Personne ne le disait, mais si nous étions là, c’était pour la promesse d’une splendeur.
Et si l’enjeu de la photographie n’était ni dans la jouissance de l’objet ou de son image, mais dans la libération émotionnelle de ce qui nous est donné à voir.
Qui peut bien se cacher dans un arbre en cépée ?
Quelques mots pour Charlie. Un petit poème pour son i.
Découvrir son Carnet glacé, c’est comme découvrir une gourmandise à la crème dans le congélateur: une sensation de fraîcheur et un sentiment de chaleur.
C’est à l’automne qu’on se le dit: à demain !
Dans le cœur des hommes se niche le trouble des arts. Il est un art dont l’écho raisonne infiniment dans mon cœur: celui de mon ami Ronald Blaes. J’en appelle aux galeristes.
Le cœur, chaud, se serre et libère ses élans.
C’est au Musée de l’Élysée que s’est déroulée la dernière séance de l’Open Show 2013
How in the field of graphic representation in architecture, is CGI actually photography in the digital space?
J’ai eu l’occasion de m’exprimer en ligne sur les considérations techniques de la photographie. Voici à la lecture une interview express.
Un an plus tard, un an déjà, et le sel de ton être assaisonne toujours nos vies.
Des projets photographiques de cette qualité, qui permettent aux êtres de se rencontrer, de se raconter, dans les méandres temporels et sensibles d’un ouvrage d’art, sont rares.
La photographie numérique n’est pas une chose virtuelle dans le nuage et sans aucun défaut.
La photographie se libère de la réalité et devient matière.
Quelques mots et une image en tête: reflet.
Les périphéries ne sont pas forcément lointaines.
En quoi, dans le domaine de la représentation graphique de l’architecture, l’imagerie de synthèse est en fait de la photographie dans l’espace numérique?
Entre lac et ciel se prélasse la terre du Lavaux.
Quand le cœur s’enrhume aux premiers pollens du printemps.
Pernicieuse houle qui sur ses crêtes nous porte au loin et dans ses ventres nous abandonne.
Le soleil n’a d’intérêt que de dos.
C’est un désir de paix qui me conduit au froid.
Mot à mot, phrase à phrase, quand le chapelet du temps résonne dans l’heur des jours.
Il est certains colliers de mots dont on se pare pour faire croire au silence.
L’aventure d’Artamis a commencé il y a 12 ans. Elle est maintenant le souvenir d’une longue et fructueuse expérience culturelle alternative.
Premier travail pour la revue ICÔN, il était aussi une nouvelle expérience dans la représentation de l’architecture.
If, instead of an organization from outside, computers can, like a living organism, self-eco-organize.
L’égo du touriste enfle dans la désinvolture de sa relation au monde.
On va pas à la gare pour prendre un train!
Pour en rendre mémoire, le jeu des fantômes à été introduit dans les photographies.
La contemplation d’un paysage apaise et fait rêver, surtout quand celui-ci est intérieur.
Les cimaises numériques se multiplient, mais celles de briques ou de papier offrent toujours leur espace de rêve et de contemplation.
Ainsi une maison (m) réelle […] est comparée à son idée (m’) afin de savoir si l’idée d’une maison donne existence ou non à une maison.
On en suppose même une réalité virtuelle, comme si toute représentation n’en était pas une.
Puisque l’espace est vide, il suffisait de le remplir.
Je postule pour un triumvirat de la photographie.
Dans ce qu’on appelle une photographie d’architecture, qu’est-ce qui importe? L’architecture ou la photographie?
Si, au lieu d’être organisés extérieurement, les ordinateurs, tels un organisme vivant, peuvent s’auto-éco-organiser.
Mais que valent des images que les spectateurs n’ont pas vues? Et de même pour des textes non-lus?
Ce qui m’agite dans l’impatience du temps: l’angoisse.
Ce projet tente l’approche d’une critique du tourisme contemporain et de ceux qui le font vivre: les touristes.
Ainsi qu’advient-il si nous sommes tous photographiés?
L’architecture est une musique gelée.
Après la gloire d’un quart d’heure, voici celle plus éphémère que le passage d’un ange.
À l’aune d’une image suggérée par le conférencier parlant du pli dans une feuille, me vint cette question: le point existe-t-il?