« […] eh bien! ces personnages se retrouvent en même temps dans différents lieux […] »

« […] eh bien! ces personnages se retrouvent en même temps dans différents lieux […] »
Une image commémorative pour cette année.
Et tout autour marche à pas lents, selon une orbite elliptique, un esprit porteur.
La gravité, ce qui m’intéresse dans la gravité c’est plutôt son idée, l’idée de la gravité.
Deux images commémoratives pour cette année.
Le livre des Vanités est paru aux éditions Ripopée
Il n’y a plus de campagne. Chaque route est l’extension de la ville, son débordement.
La ville s’est affadie par manque des autres.
Une belle image commémorative pour cette année.
Que revienne notre vitale randonnée.
On a peur de se perdre et on se perd pourtant.
Deux belles images d’espérance pour cette année.
On visite les lieux périphériques à la demeure. On les revisite encore sans franchir les limite de l’ailleurs.
Confinés que nous sommes, il nous reste à imaginer des paysages intérieurs pour se réapproprier l’espace vécu de nos logis.
Deux belles images douces et tendres pour cette année.
Des formes en nombre
Peuplent les toiles
Une des composantes essentielles des théâtres sont leurs coulisses. Le Théâtre du Livre explore l’univers du livre à travers le champ lexical du théâtre, du bâtiment à la scène.
Trois belles images douces et tendres pour cette année.
Avant de le boire, le thé, il faut le préparer.
Une seule image pour cette année, mais une image pour un événement majeur.
Les membres de soutien de l’association Focale exposent leur travaux 2017.
Critique et réponse aux portraits tirés de Matière Numérique pour le Magnum Photography Awards 2017.
Quelques portraits de l’étude sur la Matière Numérique. Some portraits of the study on Digital Matter
La calendrier a changé de nom, mais pas de qualité.
Suite de l’état des lieux sur la matière numérique et l’étude des limites créatives du processus photographique.
Les membres de soutien de l’association Focale exposent leur travaux 2016.
Trois images à voir pour une année.
Les membres de soutien de l’association Focale exposent leur travaux 2015.
Théorie et pratique s’entremêlent, s’étirent, se distancient et se reviennent. Un état des lieux sur la matière numérique et l’étude des limites créatives du processus photographique.
Honteux et meurtri je demeure.
Personne ne le disait, mais si nous étions là, c’était pour la promesse d’une splendeur.
Et si l’enjeu de la photographie n’était ni dans la jouissance de l’objet ou de son image, mais dans la libération émotionnelle de ce qui nous est donné à voir.
Découvrir son Carnet glacé, c’est comme découvrir une gourmandise à la crème dans le congélateur: une sensation de fraîcheur et un sentiment de chaleur.
Ce sont en fait les prémisses de la métamorphose du territoire.
Deux images à voir parmi toute une année.
Dans le cœur des hommes se niche le trouble des arts. Il est un art dont l’écho raisonne infiniment dans mon cœur: celui de mon ami Ronald Blaes. J’en appelle aux galeristes.
Il y a bien longtemps, j’ai fait quelques images de sport et de télévision.
Coïncidence 9_07e est la fusion simple et lumineuse d’une dizaine d’images pointant le même horizon.
C’est au Musée de l’Élysée que s’est déroulée la dernière séance de l’Open Show 2013
Deux images à voir parmi toute une année.
How in the field of graphic representation in architecture, is CGI actually photography in the digital space?
J’ai eu l’occasion de m’exprimer en ligne sur les considérations techniques de la photographie. Voici à la lecture une interview express.
Des projets photographiques de cette qualité, qui permettent aux êtres de se rencontrer, de se raconter, dans les méandres temporels et sensibles d’un ouvrage d’art, sont rares.
La photographie numérique n’est pas une chose virtuelle dans le nuage et sans aucun défaut.
La photographie se libère de la réalité et devient matière.
Les périphéries ne sont pas forcément lointaines.
En quoi, dans le domaine de la représentation graphique de l’architecture, l’imagerie de synthèse est en fait de la photographie dans l’espace numérique?
Pour la 10ème nuit des musées à Lausanne, l’expérience Tous photographes! du Musée de l’Élysée a été renouvelée.
L’aventure d’Artamis a commencé il y a 12 ans. Elle est maintenant le souvenir d’une longue et fructueuse expérience culturelle alternative.
Premier travail pour la revue ICÔN, il était aussi une nouvelle expérience dans la représentation de l’architecture.
L’égo du touriste enfle dans la désinvolture de sa relation au monde.
On va pas à la gare pour prendre un train!
Pour en rendre mémoire, le jeu des fantômes à été introduit dans les photographies.
La contemplation d’un paysage apaise et fait rêver, surtout quand celui-ci est intérieur.
Les cimaises numériques se multiplient, mais celles de briques ou de papier offrent toujours leur espace de rêve et de contemplation.
On en suppose même une réalité virtuelle, comme si toute représentation n’en était pas une.
Puisque l’espace est vide, il suffisait de le remplir.
Je postule pour un triumvirat de la photographie.
Dans ce qu’on appelle une photographie d’architecture, qu’est-ce qui importe? L’architecture ou la photographie?
C’est trois images de plus qui furent projetées au Musée de l’Élysée.
Mais que valent des images que les spectateurs n’ont pas vues? Et de même pour des textes non-lus?
Ce projet tente l’approche d’une critique du tourisme contemporain et de ceux qui le font vivre: les touristes.
Ainsi qu’advient-il si nous sommes tous photographiés?
Voici un nouvel arrivage. Six images viennent à nouveau d’être projetées le temps qu’un ange passe.
L’architecture est une musique gelée.
Après la gloire d’un quart d’heure, voici celle plus éphémère que le passage d’un ange.